Ode au Luc

Un Luc, ça se repère, ça se sent, ça se flaire.

C'est un parfum sépia, un brin entêtant de passeur fatigant.

Malgré sa quarantaine, il n'a pas de bedaine,

Juste une petite bouée pour l'aider à plonger.

Avec lui, c'est selon, y'a des gens biens et des jambons.

Une des choses qui l'agace, c'est qu'on parle à sa place

De son pote le Muppède, une force de la nature, un genre de palmipède

Qui se nourrit de houblon et d'autres mets sans nom.

Luc est un peu Cyrano, le nez c'est son prénom.

Attention pas de verlan, je sens son agacement.

En paraphrasant Rostand je terminerai séant :

Avec ce temps, à la fin de l'envoi, je mouche !